Gala
Artiste «la plus influente de sa génération», fashion jusqu'au bout des ongles, notre golden Lady vend des millions d'albums à travers le monde et enchaîne les tournées. A 24 ans, l'ex-gogo-danseuse est devenue une icône gay, une idole électro ultrabankable. Stakhanoviste, miss branchée s'est hissée au top des charts et de la popularité à la force du poignet. Autrefois serveuse dans les clubs de strip-tease new-yorkais, la belle déjantée a su sortir du lot. Son succès est exceptionnel… à tel point que la plus dénudée des divas fait aujourd'hui autorité chez les érudits.
Le cycle intitulé «Lady Gaga et la sociologie de la célébrité», se donne pour objectif de comprendre le fonctionnement du star system et la consécration de notre (fausse) Blonde, en à peine deux ans, dans le milieu de la Pop culture et dans l'industrie musicale en général.
Le référent de la formation, Mathieu Deflem, est un fan de la première heure, une vraie groupie qui aurait très bien pu être le sujet d'une étude en psychologie de l'obsession.
Selon le New York Times, l'enseignant âgé de 48 ans est littéralement «fasciné » par la reine de l'extravagance depuis qu'il l'a vue au Tonight Show, une émission télévisée de NBC très populaire aux Etats-Unis.
Depuis, l'intello a assisté à 28 concerts et s'est ruiné dans pas moins de 300 vinyles et CD de la chanteuse, des déclinaisons étrangères des ses disques. Il a aussi dédié un site Web à sa créature préférée: gagafrontrow.net, et déclaré qu'il souhaitait la faire intervenir dans l'un de ses cours.
Attention, les places sont chères et limitées.
L'Exubérante et sulfureuse Lady Gaga va bientôt être analysée et décortiquée par les élèves d'une université américaine.
Dès janvier, la très sexy Stefani Joanne Angelina Germanotta deviendra l'incandescent matériau de recherche des étudiants de Columbia, en Caroline du Sud.
Artiste «la plus influente de sa génération», fashion jusqu'au bout des ongles, notre golden Lady vend des millions d'albums à travers le monde et enchaîne les tournées. A 24 ans, l'ex-gogo-danseuse est devenue une icône gay, une idole électro ultrabankable. Stakhanoviste, miss branchée s'est hissée au top des charts et de la popularité à la force du poignet. Autrefois serveuse dans les clubs de strip-tease new-yorkais, la belle déjantée a su sortir du lot. Son succès est exceptionnel… à tel point que la plus dénudée des divas fait aujourd'hui autorité chez les érudits.
Le cycle intitulé «Lady Gaga et la sociologie de la célébrité», se donne pour objectif de comprendre le fonctionnement du star system et la consécration de notre (fausse) Blonde, en à peine deux ans, dans le milieu de la Pop culture et dans l'industrie musicale en général.
Le référent de la formation, Mathieu Deflem, est un fan de la première heure, une vraie groupie qui aurait très bien pu être le sujet d'une étude en psychologie de l'obsession.
Selon le New York Times, l'enseignant âgé de 48 ans est littéralement «fasciné » par la reine de l'extravagance depuis qu'il l'a vue au Tonight Show, une émission télévisée de NBC très populaire aux Etats-Unis.
Depuis, l'intello a assisté à 28 concerts et s'est ruiné dans pas moins de 300 vinyles et CD de la chanteuse, des déclinaisons étrangères des ses disques. Il a aussi dédié un site Web à sa créature préférée: gagafrontrow.net, et déclaré qu'il souhaitait la faire intervenir dans l'un de ses cours.
Attention, les places sont chères et limitées.
Pour ceux qui ne seront pas habilités suivre le programme, une autre filière des Sciences humaines et sociales de Virginie, dispense également une option «Lady Gaga», sous l'angle «Sexe, genre et identité». Un phénomène étudié sous toutes les coutures…
Justine Boivin